France - 02/10/2009 - 3B Conseils - Natura 2000 est un réseau européen d’espace naturels identifiés pour la qualité, la rareté ou la fragilité des espèces animales ou végétales. Il a pour objectif de préserver la biodiversité tout en valorisant le territoire, et en conciliant préservation et activités humaines.
Selon une étude (National Legislation and Practices Regarding the Implementation of Council Directive 92/43/EEC of 21 May 1992 on the Conservation of Natural Habitats and of Wild Fauna and Flora, in particular Article 6) réalisée à la demande des eurodéputés du Groupe des Verts/ALE et présentée ce vendredi 2 octobre 2009 en commission des pétitions du Parlement européen, la directive relative à la mise en place du réseau Natura 2000 n'est pas correctement appliquée par les Etat membres.
Une étape essentielle dans la mise en place du réseau consiste à désigner les sites qui présentent une importance particulière pour la conservation de la biodiversité et qui de ce fait réclament un régime spécial de protection. Or, les auteurs de l'étude constatent que de nombreux Etats membres n'ont pas terminé l'étude de leurs sites et que pour ceux identifiés l'évaluation des impacts des infrastructures n'a pas été réalisée correctement. ''L'étude a pointé de graves insuffisances dans la gestion des sites dans le réseau Natura 2000, avec des prises de décisions non transparentes, des évaluations insuffisantes des effets probables des projets et de l'urbanisation importante sur ces sites'', commente Sandrine Bélier, eurodéputée du Groupe des Verts/ALE et membre de la commission des pétitions. Concernant plus spécifiquement le cas de la France, l'eurodéputée française cite plusieurs projets incriminés par l'étude comme les grands chantiers routiers de l'agglomération orléanaise ou encore l'urbanisation programmée des marais salants de Guérande.
''Les griefs émis par les auteurs de l'étude sont extrêmement préoccupants,'' ajoute-t-elle.''Si, au-delà des discours médiatiques, certains pays de l'Union, dont la France, s'obstinent à ne pas remplir leurs obligations environnementales et humaines, et que la Commission Barroso continue à fermer les yeux sur ces pratiques, c'est l'Arche de Noé que l'on condamne à couler et les citoyens avec'', prévient l'eurodéputée.
Rappelons que le Ministère de la Défense français possède, parmi les 250.000 hectares utilisés par l'armée, 20% d’espaces classés Natura 2000 et reconnus pour leur richesse floristique et faunistique.
Article: GG 3B Conseils
Sources: Actu-environnement.com / Le portail du réseau Natura 2000
Photo: portail du réseau Natura 2000
vendredi 2 octobre 2009
Une étude du Parlement européen pointe des dysfonctionnements de Natura 2000
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jeudi 1 octobre 2009
Alain Crémieux : "Mémoires d'un technocrate"
1/10/2009 - 3B Conseils - Après "L'armement à l'heure du désarmement", "Quand les Ricains repartiront" et "L'Ethique des armes", Alain Crémieux * sort son nouveau livre "Mémoires d'un technocrate". A cette occasion, il a répondu à quelques questions :
- 3B : Comment, au cours d'une carrière d'ingénieur de l'armement, l'éthique des armes est-elle prise en compte ?
AC : D'abord en respectant loi et règlements, en connaissant les limitations juridiques nationales et internationales qui s'appliquent et en ne cherchant pas à les contourner.
- 3B : Y a-t-il eu une évolution sur la conception des armes ces dernières années ? L'éco-conception a-t-elle une place grandissante dans le cycle de production ?
AC : le respect de l'environnement qui existait déjà mais était plutôt implicite qu'explicite "de mon temps" est devenu un souci majeur, une priorité, et une priorité qui coûte cher.
- 3B : De nombreuses armes conçues depuis des décennies et notamment par l'ex-URSS ne correspondent pas aux normes actuelles. Va-t-il continuer à y avoir des armes sales ?
AC : Il faut effectivement du temps pour devenir "éco-correct". C'est vrai pour les armements comme dans bien d'autres domaines. L'unité est plutôt le lustre ou la décennie que l'année.
Pour obtenir ce nouvel ouvrage, il vous suffit de contacter directement l'auteur :
- Mail : cremieux.janod@wanadoo.fr
- Téléphone : 01 48 04 30 19
* Ancien élève de l'École Polytechnique (promotion 1955) et Sup'Aéro (promotion 1960), Alain Crémieux a exercé des fonctions techniques, de politique industrielle et de relations internationales à la Délégation Générale pour l'Armement de 1960 à 2001, avec un passage de sept ans au ministère de l'industrie de 1976 à 1983.
Il a effectué en particulier des séjours comme attaché d'armement auprès des ambassades de France à Londres (1965-1968) et à Washington (1983-1987) puis comme conseiller de l'ambassadeur représentant de la France à l'OTAN à Bruxelles (1994-1998).
De 1990 à 1994, Alain Crémieux a été directeur du Centre des Hautes Études de l'Armement (CHÉAr). Il est ingénieur général de l'armement en deuxième section.
Il a participé à l'ensemble du 1er cycle de conférences "Défense et Environnement : une nouvelle manière de penser" organisé par 3B Conseils.
Retrouvez les vidéos des 3 conférences de ce cycle : ICI
Article : FRi 3B Conseils
Photo : Couverture du livre
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mercredi 30 septembre 2009
DCNS propose des solutions pour la préservation du milieu marin
30/9/2009 - 3B Conseils - A l'occasion du colloque ATMA (Association technique maritime et aéronautique) qui se tenait hier à Paris, le groupe naval a présenté ses dernières solutions architecturales et technologiques en matière d'éco-conception, d'amélioration des systèmes de propulsion et de traitement des déchets. « Les projets éco-responsables représentent un axe de développement important pour DCNS, qui s'attache à la préservation du milieu marin. Parallèlement, l'Organisation Maritime Internationale, institution des Nations Unies chargée d'élaborer des dispositions relatives à la sécurité en mer, a prévu un renforcement des réglementations sur la pollution maritime à l'horizon 2016 », explique DCNS, qui a présenté ses solutions en partenariat avec le Pôle Mer Bretagne.
C'est dans cette optique que le groupe a développé Ecoship, un concept permettant de réduire de 50% l'impact environnemental d'un navire sur l'ensemble de son cycle de vie. « L'éco-conception s'appuie sur de nombreux projets R&D afin de conduire une recherche systématique de solutions portant sur l'optimisation des systèmes, les nouvelles sources d'énergie, la limitation des rejets dans l'environnement... », indique Yves Pierson, ingénieur R&D chez DCNS.
L'industriel s'attache à optimiser les systèmes propulsifs hybrides (double système diesel et turbine à gaz), qui permettent d'améliorer la performance des navires, d'en diminuer le coût d'acquisition, mais également d'en réduire la facture énergétique. C'est, par exemple, le cas sur les nouvelles frégates européennes multi-missions (FREMM). Dominique Mignotte, expert senior, a présenté hier une analyse comparée entre diesel et turbine à gaz. « L'optimisation d'utilisation de l'un et l'autre est obtenue avec la propulsion hybride mise en oeuvre sur les frégates FREMM : la turbine à gaz est réservée aux hautes vitesses et la propulsion électrique pour les vitesses basses et de transit. Ensemble, ils offrent une grande souplesse d'emploi, un faible niveau de maintenance et un fort rendement global », explique-t-il.
DCNS développe, par ailleurs, NACRE, un projet de navire conduit dans le respect de l'environnement. Retenu lors du Grenelle de la mer, le projet NACRE, labellisé par le Pôle Mer Bretagne, a débuté en janvier 2009. Il a pour objectif de concevoir des systèmes permettant de réduire l'impact environnemental des navires en exploitation. « NACRE va se dérouler sur 3 ans pour identifier et mesurer les émissions de produits polluants (rejets liquides et gazeux), comprendre leur impact, cibler les technologies porteuses, puis choisir des solutions innovantes pour leur traitement », explique Marc Boeuf, détaché au Pôle Mer Bretagne. La dernière année sera consacrée à la réalisation et aux essais d'un prototype.
Article : FRi 3B Conseils
Source : Le portail des sous-marins / Mer et Marine / techniques-ingenieur.fr / Les Echos / 3B Conseils
Photo : Logo DCNS
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« Ecoship », le navire militaire qui défend la mer
30/9/2009 - 3B Conseils - Avec ses deux coques et le cerf-volant qui le traîne, ce bâtiment militaire ne passera pas inaperçu. Pour l'instant, il ne s'agit que d'un concept, baptisé « Ecoship » (« navire écologique ») et présenté par la branche ingénierie de DCNS (ex-DCN, Direction des chantiers navals). Sa maquette fut l'une des vedettes de la Journée sciences navales, organisée par l'Ecole navale, près de Brest. « Pour nous, marins, qui sommes là pour défendre la mer, la protection de l'environnement est primordiale, a souligné l'amiral Pierre Soudan, commandant de l'Ecole navale. Les officiers que nous formons doivent prendre en compte l'éco-conception des navires.». DCNS a donc lancé une démarche d’éco-conception globale, dont l’Ecoship est le point d’orgue.
L'éco-conception ? Il s'agit de réfléchir, dès la conception d'un produit, à son impact sur l'environnement, et ce tout au long de son cycle de vie : fabrication, utilisation (pendant trente à quarante ans, pour les navires de la marine française), entretien et démantèlement. Les péripéties du « Clémenceau » ont montré l'importance de ce dernier point... DCNS semble signer là une première. « Je n'ai pas trouvé de réflexion aussi avancée dans d'autres marines étrangères », avance Richard Matez, expert pour la protection de l'environnement dans les navires militaires à la DET (Direction de l'expertise technique), de la DGA (Délégation générale pour l'armement).
Navire de demain, l’Ecoship a pour objectif de réduire de moitié l’impact environnemental d’un navire militaire de référence. Mais ce n’est pas tout. L’amortissement du surcoût engendré ne doit pas excéder cinq ans. " Au final, le bilan fait apparaître un gain de 57 % de l’impact environnemental global, et une réduction de la consommation de gazole de 50 %, ce qui permet l’amortissement sur 5 ans des surcoûts liés à l’écoconception ", affirme Philippe Goubaut, architecte d'ensemble pour les bâtiments de surface chez DCNS Ingénierie. Bien sûr, ce navire n’est à l’heure actuelle qu’un concept, mais quelques solutions retenues pour la mise en œuvre d’Ecoship sont déjà appliquées dans des programmes en cours, notamment en ce qui concerne l’optimisation de la consommation et du rendement, le respect des normes en matière de rejets et de déchets et la traçabilité des matériaux entre autres.
Une des particularités du travail réalisé par DCNS pour ce projet est la prise en compte de l’impact environnemental à un niveau global. Ainsi, le groupe de recherche a fait le bilan complet de l’impact environnemental du navire vert sur toute sa vie, jusqu’à prendre en compte l’énergie nécessaire pour produire les matériaux mis en œuvre dans la réalisation de ce bâtiment. Yves Pierson, responsable avant-projet chez DCNS Ingénierie, affirme ainsi que " cette démarche est en avance sur les pratiques actuelle d’autres secteurs du transport, qui ne s’attachent qu’au bilan carbone de leur activité. "
L'éco-conception n'est en effet pas, aux yeux de DCNS, une simple étude. Au sein de l'industriel, on assure que la plupart des mesures imaginées « sont réalisables aujourd'hui, sans développement particulier. Il fallait simplement penser à les appliquer et les intégrer dès la conception. C'est une recherche d'économies plus ou moins importantes qui, mises bout à bout, font qu'il est aujourd'hui possible de faire des bateaux ayant beaucoup moins d'impact sur l'environnement, sans pour autant être plus chers. La démarche d'éco-conception est d'ores et déjà intégrée dans nos projets et constitue un acte fondateur de ce que seront les navires du futur ».
Au niveau de la conception de l'Ecoship, quatre axes de recherche ont permis d’aboutir au résultat actuel :
* Optimisation du flotteur : forme de la carène et matériau structurel
* Optimisation hydro et aérodynamique
* Energies propres
* Optimisation énergétique
Au niveau de la carène, des études ont été menées pour évaluer la puissance propulsive nécessaire, selon les modèles choisis. Ainsi, c'est un système de propulsion hybride diesel/électrique qui a été retenu, les moteurs électriques pour le fonctionnement jusqu'à 11 noeuds puis des moteurs diesels semi-rapides prennent le relai. Au final, un monocoque nécessite une puissance supplémentaire d’environ 20 % par rapport au catamaran pour une vitesse de propulsion équivalente. La composition de la coque tout comme son revêtement sont également le fruit de réflexions prenant en compte le cycle de vie complet du bateau.
Enfin, l'optimisation énergétique a été poussée au maximum grâce à l'utilisation de panneaux solaires, d'un système de ventilation double flux et à la voile propulsive. Tout cela réduisant d'autant la consommation en carburant du navire.
A l'origine, le projet Ecoship est destiné à concourir pour le programme BIS (Bâtiment d'Intervention et de Souveraineté) visant à remplacer les BATRAL (BAtiments de TRAnsport Léger) de la Marine Nationale. Toutefois, ce concept va également servir de base pour le segment bâtiment-mère du démonstrateur ESPADON. Si ces deux projets aboutissent, cela engendrerait une homogénéisation d'une partie de la Flotte, et donc des économies supplémentaires sur le MCO (Maintien en Condition Opérationnel).
Article : FRi 3B Conseils
Source : Le portail des sous-marins / Mer et Marine / techniques-ingenieur.fr / Les Echos / RL - 3B Conseils
Photo : Mer et Marine - L'Ecoship de DCNS
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mardi 29 septembre 2009
Coulée en 1950, la frégate Laplace pollue encore la baie de la Fresnaye
29/9/2009 - 3B Conseils - Dans quatre jours, les hydrocarbures qui suintent de l'épave du Laplace ne devraient plus être qu'un mauvais souvenir. Le pompage de la soute qui contient encore 10m³ de carburant doit commencer aujourd'hui. Le Laplace, ancien destroyer américain, lancé en 1942, puis acheté par la France en 1947, a été transformé en navire météo d'assistance à l'aviation et à la marine marchande. Se rendant à Saint-Malo, le 16septembre 1950, la frégate s'était mise à l'abri d'une tempête dans la baie de La Fresnaye, à quelques encablures du château de Fort La Latte, où elle sauta sur une mine magnétique flottante allemande. Sur 92hommes d'équipage, marins et civils, 41 survivront. Surveillée depuis 2003, après qu'un pêcheur-plaisancier eut signalé une pollution insidieuse par hydrocarbures à proximité de l'épave, celle-ci devrait enfin être vidée. La zone d'intervention a été délimitée par des barrages flottants.
Article : FRi 3B Conseils
Source : Le Télégramee / Le portail des sous-marins / 3B Conseils
Photo : Le Télégramme - La frégate Laplace coulée
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lundi 28 septembre 2009
Substances chimiques : La contribution de la recherche publique au réglement européen REACH
28/9/2009 - 3B Conseils - L’adoption en 2007 du règlement européen REACH devrait aboutir à une meilleure connaissance des substances chimiques mais aussi à la substitution de certaines. La recherche publique s’est interrogée sur sa contribution possible à cet énorme chantier.
Depuis deux ans, l’INERIS (institut national de l’environnement et des risques), le CNRS et l’APESA (centre technologique en environnement et maîtrise des risques), saisis par les pouvoirs publics, ont réfléchi à leur contribution à la bonne mise en œuvre du règlement européen REACH, qui vise d’ici 2018 une meilleure connaissance des substances chimiques utilisées. Ces travaux ont permis de mettre en lumière les efforts de recherche indispensables à la réussite de ce chantier. Un colloque de restitution des travaux était organisé le 24 septembre dernier. Il devrait permettre d’orienter les axes de recherche futurs et les appels à projet.
Rappelons que la production de substances chimiques est passée de 1 million à 400 millions de tonnes entre 1930 et 2007. Aujourd’hui, près de 100.000 substances seraient utilisées sur le marché, dont les impacts sanitaires et environnementaux sont mal connus. L'objectif de REACH ? Renverser la charge de la preuve : les producteurs et importateurs de substances chimiques doivent désormais prouver l’innocuité des substances qu’ils utilisent.
Restée en marge du débat sur le règlement REACH, la communauté de la recherche publique estime pourtant avoir un rôle à y jouer. "Les chercheurs des institutions publiques doivent dès aujourd’hui suivre avec vigilance la mis en œuvre du règlement, note le rapport. Assurément, ce sont les industriels eux-mêmes, et non la communauté scientifique de la recherche publique, qui ont à charge de produire la connaissance. Il est toutefois permis de s’interroger sur l’efficacité du système ainsi mis en place, quand on sait que la source du financement des évaluations est susceptible d’influer directement sur les résultats de ces dernières. Sans prétendre être une instance ultime d’arbitrage, elle est en mesure de mobiliser des compétences de haut niveau pour fournir un support crédible au nécessaire dialogue entre producteurs, chercheurs, utilisateurs, décideurs".
Les chercheurs pensent également que leur rôle est de promouvoir des recherches spécifiques. La chimie verte être perçue comme une priorité dans les laboratoires de recherche académique. Les scientifiques doivent également travailler sur les questions d’acceptabilité sociale en créant une collaboration étroite entre sciences sociales et sciences de la nature.
La prise en compte des impacts sanitaires et environnementaux constitue désormais une priorité pour la chimie. L’analyse du cycle de vie, le choix des matières premières, fossiles ou renouvelables, les choix des réactions avec le minimum de rejets, le choix du procédé… doivent donc être déterminants pour la prise de décision. Selon le rapport, la recherche peut et doit proposer des substances de substitution des produits dangereux mais aussi des substituts aux solvants utilisés dans la chimie, participer au développement de nouveaux procédés plus efficaces et moins impactant, accompagner l’innovation dans le secteur.
La mise en place du règlement REACH a révélé le manque cruel de toxicologues, en France comme en Europe. Le rapport propose de renforcer cette discipline, tout d’abord au niveau de la recherche fondamentale (développement de biomarqueurs…). Le rapport précise que l’accent doit "être mis sur les effets chroniques des faibles doses d’exposition, les problèmes de relation dose-effet, de cocktail de substances… Le développement d’outils de gestion / traitement de données et de modélisation mathématique est primordial au succès de cette approche."
Enfin, le rapport propose entre autre de créer un observatoire économique de la mise en œuvre de REACH pour "réaliser des études ex post sur les conséquences réelles de la mise en œuvre de REACH sur l’industrie chimique et sur certaines grandes industries utilisatrices. Ces études permettraient aux pouvoirs publics d’orienter au mieux les accompagnements de l’évolution, voire des reconversions, des entreprises".
Article : FRI 3B Conseils
Source : Actu environnement / 3B Conseils
Photo : Actu environnement - © Alexander Raths
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